Préparez-vous à regarder un film de surf qui propose enfin des surfeurs surfant sur les vagues. Merci de vous concentrer sur ce qui compte vraiment.
« Intensité bleue ».
Ces jours-ci, les cinéastes de surf se concentrent sur l’art, l’humour et l’indie. Mais le public commence à montrer des signes d’ennui. Cela peut sembler étrange, mais nous avons besoin de surf et de compétences de réalisateur moins douteuses.
« Blue Intensity », le nouveau court-métrage de George Trim, offre ce que certains d’entre nous ont manqué le plus: des tonnes de vagues épiques et un surf art simple. Et au lieu de mettre tout l’argent sur les airs et la nouvelle école, le directeur a pris quelques pas en arrière et nous a livré au début des années 2000 une vague de surf.
Le film nous rappelle la beauté du ralenti, surtout lorsqu’il est utilisé intelligemment pour mettre en évidence les mouvements du corps et la brisure de certaines vagues si caractéristiques du surf.
Et le réalisme de certains gros plans vous donnera la chair de poule. Pourquoi? Parce que tout dans « Blue Intensity » semble naturel, sans prétention et instinctif. Et le fait qu’il a été tourné « quelque part » dans le Pacifique Sud aide également.
Nous avons manqué les angles sous-marins bleu céleste et ces plongées profondes de canard qui plongent dans le liquide transparent. Mais le travail du réalisateur est beaucoup plus que cela, y compris des sorties de tube presque impossibles et des kick-outs élégants.
George Trim sert un délicieux menu gastronomique dans lequel prédominent les ingrédients les plus bleutés. Mais vous assisterez également à quelques wipeouts épicés qui ajoutent un facteur de mortalité à l’existence des surfeurs.
Il est intéressant de noter que le film de 14 minutes présente uniquement des tournées à gauche. Pas que ça compte beaucoup. Dans l’ensemble, le film restaure notre foi dans le surf pur, et nous enseigne quelques leçons d’équitation de baril.
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Après avoir regardé « Blue Intensity », qui pourrait aussi avoir été nommé « Blue Cylinders », vous pourrez affiner vos sculptures, diapositives et flotteurs car il y a beaucoup de jus à presser sur chaque image.
La partition originale de The Forbidden Trim Band s’intègre pleinement aux scènes que vous proposent Dane Reynolds, Nathan Fletcher, Pat, Dane et Tanner Gudauskas, Joel Tudor, Alex Knost et bien d’autres.
Si vous n’avez pas vu le dernier film de Vans Blue Intensity, je vous recommande fortement de prendre les quinze prochaines minutes de votre temps et de regarder le film ci-dessous. Tourné dans les eaux cristallines du Pacifique Sud, les frères Gudauskas, Nathan Fletcher, Nathan Florence et Ivan Florence s’enfoncent dans le grand bleu en quinze minutes de surf pur.
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